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Poser vos questions à formation@sdis05.fr
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Je dois aller me faire tester immédiatement si je vis avec la personne contaminée, sinon 7 jours après le dernier contact avec la personne malade.
Je m’isole chez moi je porte un masque en présence d’autres personnes et je surveille mon état de santé.
L'Assurance Maladie me rappellera pour me donner les résultats et les recommandations à suivre.
Je ressens des symptômes du COVID-19 (toux, fièvre, nez qui coule, perte de goût ou d’odorat), je m'isole et ne vient pas à ma garde ma formation, ma visite médicale et je prévient le service concerné.
J’appelle un médecin dès le début des symptômes. Il me prescrit test de dépistage, masque et arrêt de travail.
Toute victime ou accompagnant, dès sa prise en charge par les sapeurs-pompiers, doit porter un masque. Ce masque peut-être celui de la victime si elle en portait déjà un (masque alternatif en tissu ou masque chirurgical) ou un masque chirurgical fourni par les sapeurs-pompiers.
Le document que vous connaissez déjà, est mis à jour conformément à cette consigne ci dessous.
Protection du téléphone portable
Nettoyage et désinfection du poste radio ANTARES, des claviers /souris des pc, ainsi que des bip
Le port de gants n’est pas utile lors de la pose et du retrait du masque de confinement. Il convient seulement de se laver les mains avant sa pose et après son retrait.
Le masque de confinement protège moins qu’un masque FFP 2 et moins qu’un masque chirurgical. Néanmoins, s’il est fabriqué selon les normes préconisés par l’AFNOR, ce qui est le cas des masques de confinement fournis par le SDIS, le niveau de protection est proche de celui des masques chirurgicaux.
Les comptes rendus des tests sont disponible ICI
Non, car dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, nous ne sommes pas sur une contamination volatile comme pourrait l’être une contamination chimique sous forme de poudre. Le virus étant porté par des gouttelettes, les tenues de protections les « absorbent » et il n’y a pas de risque de les voir remises en suspension dans l’air lors du déshabillage. Le masque est donc inutile.
Mais… Il peut y avoir un risque contact entre les mains de l’aide et son visage de façon accidentelle. Le masque pourrait alors être une barrière. Il n’y a donc pas de contre-indication au port du masque chirurgical lorsqu’on aide au déshabillage.
Il convient de décontaminer tout le matériel amené à moins d’un mètre de la victime. L’intérieur et tous les éléments contenus dans les sacs ouverts à moins d’un mètre doivent être aussi décontaminés.
Les désinfections approfondies sont à réaliser lorsqu’une victime a été (para)médicalisée avec des gestes invasifs au niveau des voies aériennes de la victime ou lorsqu’il y eu utilisation d’oxygène à fort débit (> 6l/mn) ou mise en œuvre d’aérosols sur la victime à l’intérieur du VSAV.
Une désinfection approfondie doit également être effectuée au moins une fois par mois si elle n’a pas été faite suite à une telle intervention. C’est aussi une bonne façon de vérifier le matériel et de le connaitre …
Le médecin régulateur apprécie le niveau de risque et peu affiner le port des tenues de protection en fonction de critères médicaux qu’ils disposent. Il convient dans ce cas de suivre les consignes du Médecin régulateur de C15.
Attention, il est nécessaire de ne pas oublier de laver sa tenue (60°) en rentrant d’intervention. Si les intervenants n’ont pas été protégés par une combinaison.
La procédure de réanimation cardio pulmonaire nécessite de nombreux gestes invasifs qui génèrent un important risque de contamination s’accumulant durant un temps parfois très long.
Le niveau de protection des intervenants doit donc être le plus important.
Les fiches bilans doivent toujours être renseignées. Le carnet de fiche ne peut pas être décontaminé efficacement. Il convient donc de le protéger dans la cabine du conducteur. Le conducteur (qui reste en retrait) semble être la personne toute désignée pour le renseignement de cette fiche avec les informations recueillies par le chef d’agrès.
Il est d’ailleurs recommandé que chacun ait son stylo ou de laisser un stylo que l’on pensera à décontaminer dans la cabine de conduite…
Oui, il est possible de concevoir des masques de confinement (tissu) de façon artisanal. L’AFNOR a précisé les modalités de conception permettant de les fabriquer.
Ce document est disponible en téléchargement ICI
Les masques FFP2 et les masques chirurgicaux sont trop complexes pour être conçus de façon artisanale.
La crise actuelle est une crise sanitaire: nos cadres SSSM SPV sont souvent fortement sollicités dans leurs emplois. Mais leur cœur de métier reste d’être médecin ou infirmier: ils sont là pour nous appuyer dans la gestion de cette pandémie.Les outils de gestion individuelle de la disponibilité sont à leur disposition (ARTEMIS, SMARTEMIS): ils les maitrisent et les utilisent.
Nos cadres SSSM ont toute la latitude, quand leur situation le permet, de se rendre disponibles pour notre SDIS; il en va de leur choix et de leur volonté.
Les mineurs sont les personnes identifiées qui présentent le moins de risques. Mais ils peuvent être porteurs asymptomatiques en cas de contraction de la maladie: le port du masque en opération est primordial chez eux.Une attestation parentale relative à la connaissance des risques a été fournie lors du recrutement et signée par le représentant légal. Néanmoins, les parents, représentants légaux,sont en droit de s’opposer à la poursuite de l’activité de SPV de leur enfant durant cette période d’épidémie. Mais s’il n’y a pas d’avis formalisé et écrit de la part des parents, la question du maintien en activité et de la réalisation de missions SUAP COVID 19 de ces adolescents ne se pose pas.ATTENTION: un mineur en opération est toujours placé sous la responsabilité d’un tuteur désigné dès le départ en intervention et qui le formalise au mineur.
Les études épidémiologiques montrent que l’âge est un facteur possible de risques de complication en cas de COVID 19, parmi d’autres. La démarche individuelle doit prévaloir: si le sapeur-pompier ne souhaite pas modifier ses conditions d’engagement, cela doit être respecté.Le chef de centre,avec l’appui du SSSM local,peut néanmoins conseiller ses personnels, organiser et adapter les postures au bénéfice des «masters»,comme par exemple:
Comme pour les mineurs, le port du masque en opération est primordial pour les masters.